L’étude a conclu notamment que la demande en légumes brut était trop faible pour justifier la création d’une plateforme de distribution, mais suffisamment émergente pour mettre en place une expérimentation logistique qui valorise les structures existantes.

 

Les enseignements tirés de cette phase au-delà de l’évaluation quantitative sont que d’une part les commandes concernent tous les produits (pas seulement les légumes) et qu’un accompagnement aux changements de pratiques devait être mis en place pour les gestionnaires de restauration collective.

 

Cela a conduit le groupe de travail à mettre en place une deuxième phase afin d’actionner la demande et d’étudier des solutions techniques par le biais d’une approche plus globale : le Projet Alimentaire de Territoire.