château de Saint-Paul-d’Oueil

 

  • Château du 16ème siècle. Les éléments protégés sont la tourelle et l’escalier. Inscrit en 1947
  • Église Saint-Pierre du 11ème, 12ème et 13ème siècle, vestiges de fresques, inscrite en 1956

église de Trébons de Luchon

 

  • Église Saint-Julien romane du 11ème et 12ème siècle inscrite en 1979
  • Tour dite du Castet Bert : Tour de guet du 11ème siècle. Inscrite aux Monuments historiques en 1997
  • Cimetière : 13ème siècle, protection du portail, inscrit en 1926
  • Basilique Saint-Just : Datant du Moyen-Age, classée au Monuments historiques en 1840

Le Projet Alimentaire de Territoire s’inscrit dans loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt du 13 octobre 2014 (Art 39), en tant qu’un diagnostic partagé faisant un état des lieux de la production agricole et alimentaire locale, du besoin alimentaire du bassin de vie et identifiant les atouts et contraintes socio-économiques et environnementales du territoire.

 

Bâtir un PAT avec Erables 31.pdf565.39 ko
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En 2013, l’ancienne Communauté de Communes du Haut-Comminges en partenariat avec Erables 31 et les Jardins du Comminges a travaillé sur une étude-action « Pôle Maraichage Biologique en Comminges ».

 

 

Vidéo Cocagne R&D : Le pôle maraîcher biologique

 

 

Transcription textuelle de la vidéo

 

 

 

Nos partenaires

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L’étude a conclu notamment que la demande en légumes brut était trop faible pour justifier la création d’une plateforme de distribution, mais suffisamment émergente pour mettre en place une expérimentation logistique qui valorise les structures existantes.

 

Les enseignements tirés de cette phase au-delà de l’évaluation quantitative sont que d’une part les commandes concernent tous les produits (pas seulement les légumes) et qu’un accompagnement aux changements de pratiques devait être mis en place pour les gestionnaires de restauration collective.

 

Cela a conduit le groupe de travail à mettre en place une deuxième phase afin d’actionner la demande et d’étudier des solutions techniques par le biais d’une approche plus globale : le Projet Alimentaire de Territoire.

Pour les citoyens

  • accéder dans les restaurants collectifs (cantines, établissement sanitaires et sociaux, restaurants d'entreprises...) à des produits sains et frais
  • redonner du plaisir à table et du sens aux aliments consommés
  • rendre concret le lien entre alimentation et vie économique du territoire

 

 

Pour les producteurs

  • Partager, mutualiser et investir en commun dans certains bâtiments d’exploitation, matériels et outils de production : hangars, chambres froides, système d’irrigation, outils spécialisés par exemple
  • S’organiser pour les approvisionnements en intrants : groupements de commandes, facilités de livraisons, économies d’échelle
  • Faciliter l’entraide et l’emploi de salariés : développer l’entraide et/ou créer un groupement d’employeurs permet de mutualiser le travail d’un ou de plusieurs salariés. Il permet à terme de rendre le métier plus « vivable »
  • Favoriser les échanges de savoir-faire et l’expérimentation : importance de la formation continue des producteurs et de l’échange d’informations, facilitation de l’expérimentation de nouvelles techniques

 

des maraîchers nous montrent leurs carottes

 

 

Pour les collectivités locales et leurs groupements

  • développer une économie rurale vivante et créatrice d’emploi
  • maintenir et développer des relations de proximité entre monde agricole et urbain
  • améliorer la qualité (produits sains et frais) et l’image du service de restauration proposé à leurs citoyens
  • protéger l’environnement sur leur territoire : éviter la pollution de l’eau, maintenir une biodiversité importante, éviter la dégradation des sols
  • saisir l’opportunité d’être accompagné par deux structures agricoles complémentaires et mobilisées sur cette thématique : les Jardins du Comminges et du Volvestre et Erables 31

La Communauté de Communes Pyrénées Haut Garonnaises doit statuer avant le 1er janvier 2018, sur les compétences optionnelles qu’elle souhaite prendre et notamment sur la compétence « gestion des risques naturels » qui est intégrée dans le bloc « Protection et mise en valeur de l’environnement et du soutien aux actions de maîtrise de l’énergie ». L’étendue de cette compétence sera définie plus précisément par l’intérêt communautaire, pour lequel la collectivité doit statuer avant le 1er janvier 2019.

 

Une autre compétence « Gestion des Milieux Aquatiques et Préventions des Inondations » (GEMAPI) sera obligatoirement exercée à compter du 1er janvier 2018. Afin d’anticiper la prise de compétence, le PETR Pays Comminges Pyrénées, s’est porté volontaire pour porter l’étude de gouvernance concernant la mise en place de la compétence GEMAPI sur le périmètre de la Garonne amont. De cette étude dépendra le périmètre d’exercice de cette compétence par la CCPHG.

Actuellement, 46 communes sont dotées d’un Plan de Prévention des Risques naturels prévisibles (PPR) et 3 ont un PPR en cours d’élaboration. Les communes qui disposent d’un PPR sont principalement celles situées en montagne, seules quelques communes de montagne (notamment dans le Haut-Larboust) ne sont pas encore couvertes par un PPR. Ces PPR sont prescrits et réalisés par le service risque de la DDT (service déconcentré de l’État).

 

Carte des communes ayant un plan de prévention des risques